Publication | Actes des XXXIIe rencontres – Variabilités environnementales, mutations sociales. Nature, intensités, échelles et temporalités des changements.

Sous la direction de  Frédérique Bertoncello et Franck Braemer.

La perception des interactions entre les facteurs naturels et anthropiques sur l’évolution des environnements et des sociétés est une préoccupation majeure de la communauté scientifique, au croisement des sciences de la Terre, de l’Environnement et de la Société. La question centrale est celle de l’impact respectif des processus naturels (climatiques essentiellement) et anthropiques dans les dynamiques sociales et environnementales, que l’on peut désormais restituer avec de plus en plus de finesse. Pour dépasser les interprétations déterministes et mécanistes qui recherchent des relations directes de causes à effets, et envisager les relations sociétés-milieux dans la perspective d’un système en co-évolution, il est nécessaire de proposer des modèles de représentation et d’interprétation de plus en plus nuancés et adaptés à la variabilité des situations étudiées et des fonctionnements régionaux des géosystèmes et des anthroposystèmes. Cela passe par la mobilisation de données hétérogènes (climatiques, paléoenvironnementales, archéologiques, historiques…), souvent lacunaires, de résolutions chronologiques et spatiales variées et différents degrés de précision. De même, les effets des changements climatiques et des actions anthropiques sur les environnements et les sociétés ne se manifestent pas avec la même intensité, selon les mêmes rythmes ni les mêmes échelles. Pour confronter, dans l’espace et dans le temps, des dynamiques environnementales et sociales, des outils méthodologiques permettant de mesurer et de modéliser le changement commencent à être élaborés.
Ce sont ces questions de nature, d’intensité, de seuils, d’échelles et de temporalité des impacts climatiques et anthropiques, principaux enjeux de la modélisation des dynamiques socio-environnementales, qui ont été explorées au cours de ce colloque.

Our perception of the interactions between natural and human factors on environmental and social dynamics is a major concern of the scientific community at the crossing of Earth, Environmental and Social Sciences. The central question is the relative impact of natural (mainly climatic) and human processes on the evolution of ancient environments and societies, which we can now perceive with more accuracy. In order to go beyond mechanical and deterministic interpretations seeking direct causal links, and to consider on the contrary human-nature interactions in a co-evolutive perspective, it is necessary to propose finaly-tuned models adapted to the regional diversity of the geosystems and anthroposystems. This implies to mobilise heterogeneous data (climatic, palaeoenvironmental, archaeological, historical…), often incomplete, with various chronological and spatial resolutions and degrees of accuracy. Moreover, the intensity, rhythm and scale of the impacts of climatic changes and human activities on the environments and societies can differ greatly. News methods and tools allow change measurement and modelling in order to compare environmental and social dynamics, in space and time. This conference aimed to investigate these questions of nature, intensity, threshold, scale and temporality of the climatic and social impacts, key issues in the modelling of socio-environmental dynamics.

Sommaire :2011_XXXII_2012_COLANTIB_valid

Prix: 40 €
ISBN 2-904110-52-6

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Publication | Actes des XXXIe rencontres – Prédateurs dans tous leurs états. Evolution, biodiversité, interactions, mythes, symboles.

Sous la direction de Jean-Philip Brugal, Armelle Gardeisen et Arnaud Zucker.

L’’ambition de ce recueil d’archéozoologie, fruit de rencontres et d’échanges de chercheurs d’horizons variées, est d’offrir à la réflexion un ensemble d’études croisées et pluridisciplinaires sur la prédation et les prédateurs. Principalement centré sur des aspects archéologiques et historiques, il s’articule autour de trois thématiques majeures : compétition, représentation, appropriation. À partir de différents matériels (ostéologiques, technologiques, iconographiques, littéraires) et de « terrains d’enquête » divers (géographiquement et chronologiquement), il aborde les principales problématiques historiques et culturelles liées à la prédation, souvent sous l’angle de l’interaction homme-animal. L’enjeu de ces enquêtes est à la fois d’interroger et d’élucider cette notion délicate, en mesurant l’impact de cette détermination profonde (un facteur à la fois alimentaire, biologique, écologique, évolutive et symbolique), et de permettre, à travers des analyses de situations particulières et des examens spécifiques, une meilleure compréhension globale et historique du « système de la prédation ».

This collective volume on archaeozoology presents a set of pluridisciplinary studies on predation and predators. It is the result of encounters and exchanges that took place among researches of diverse theoretical and methodological perspectives during the 31st Antibes Conference. Focused primarily on archaeological and historical aspects of the subject, the papers address three main themes : competition, representation, and appropriation. Using different kinds of evidence (osteological, technological, iconographic, literary), and based in geographically and chronologically diverse domains of analysis, the book explores the main issues linked to predation, generally within the framework of man-animal interactions. The purpose of these studies is to both question and illuminate this complicated term by evaluating the impact of this profound characteristic (which is simultaneously alimentary, biological, ecological, evolutionary, and symbolic). They are also intended to offer, through analysis of particular situations, a global historical perspective on the “predatory system”.

Sommaire : 2010_XXXI_2011_page_de_garde

Prix: 40 €
ISBN 2-904110-51-8

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Publication | Actes des XXXe rencontres – Des hommes et des plantes, exploitation du milieu et des ressources végétales de la Préhistoire à nos jours

Sous la direction de Claire Delhon, Isabelle Théry-Parisot et Stéphanie Thiébault.

La notion de « dépôt » recouvre plusieurs réalités archéologiques, historiques et ethnographiques allant de l’accumulation aléatoire d’objets à une pratique intentionnelle chargée de significations sociales, économiques ou symboliques. La multiplicité des types d’approche, des choix méthodologiques et des modèles interprétatifs auxquels ont recours les chercheurs pour expliquer les processus de formation et les significations de ces « ensembles » s’inscrit de surcroît dans des contextes chrono-culturels variés.
Tel qu’il est envisagé dans cet ouvrage, un « dépôt » est la fois une action, le résultat de cette action et un lieu. Afin d’aborder cette notion, ces xxixe Rencontres Internationales d’Archéologie et d’Histoire d’Antibes s’articulent autour de trois axes principaux dans une perspective pluridisciplinaire et diachronique : les contextes de découverte, la « vie sociale » des objets déposés et enfin les gestes et les acteurs du dépôt.

The notion of “Deposits” encompasses several archaeological, historical and ethnographical facts from the random gathering of objects to the intentional practices, either sociological, economic or symbolic. The multitude of different approaches, the methodological choices and interpretative models which are available to researchers in order to explain the ways and the signification of the “groups” is in addition to the varied and chrono-culturel context.
As is described in this publication, a “deposit” is at once an action, the result of that action and a place. In order to approach this subject the xxixth session of International Archaeological and History of Antibes is based on these three principal axes with a multidiscipline and diachronic perspective: the context of the discovery, the “social life” of the objects uncovered and finally the gestures and the actors who made the deposits.

Sommaire : 2009_XXX_2010_00_sommaire

Prix: 40 €
ISBN 2-904110-49-6

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Publication | Actes des XXIXe rencontres – Du matériel au spirituel, réalités archéologiques et historiques des « dépôts » de la Préhistoire à nos jours

Sous la direction de Sandrine Bonnardin, Caroline Hamon, Michel Lauwers et Bénédicte Quilliec.

La notion de « dépôt » recouvre plusieurs réalités archéologiques, historiques et ethnographiques allant de l’accumulation aléatoire d’objets à une pratique intentionnelle chargée de significations sociales, économiques ou symboliques. La multiplicité des types d’approche, des choix méthodologiques et des modèles interprétatifs auxquels ont recours les chercheurs pour expliquer les processus de formation et les significations de ces « ensembles » s’inscrit de surcroît dans des contextes chrono-culturels variés.
Tel qu’il est envisagé dans cet ouvrage, un « dépôt » est la fois une action, le résultat de cette action et un lieu. Afin d’aborder cette notion, ces xxixe Rencontres Internationales d’Archéologie et d’Histoire d’Antibes s’articulent autour de trois axes principaux dans une perspective pluridisciplinaire et diachronique : les contextes de découverte, la « vie sociale » des objets déposés et enfin les gestes et les acteurs du dépôt.

The notion of “Deposits” encompasses several archaeological, historical and ethnographical facts from the random gathering of objects to the intentional practices, either sociological, economic or symbolic. The multitude of different approaches, the methodological choices and interpretative models which are available to researchers in order to explain the ways and the signification of the “groups” is in addition to the varied and chrono-culturel context.
As is described in this publication, a “deposit” is at once an action, the result of that action and a place. In order to approach this subject the xxixth session of International Archaeological and History of Antibes is based on these three principal axes with a multidiscipline and diachronic perspective: the context of the discovery, the “social life” of the objects uncovered and finally the gestures and the actors who made the deposits.

Sommaire : 2008_XXIX

Prix: 40 €
ISBN 2-904110-47-X

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Publication | Actes des XXVIIIe rencontres – Archéologie du poisson, 30 ans d’archéo-ichtyologie au CNRS, hommage aux travaux de Jean Desse et Nathalie Desse-Berset

Sous la direction de Philippe Béarez, Sandrine Grouard et Benoît Clavel.

Cet ouvrage est le résultat de la réunion tenue à Antibes en octobre 2007, dont le titre était « Archéologie du poisson ». Il explore l’exploitation des ressources aquatiques par la pêche à travers la planète et le temps ainsi que les thèmes qui lui sont liés. Les articles abordent : 1. les techniques et les stratégies de pêche ; 2. le traitement et le commerce du poisson ; 3. le développement et la gestion des pêches et de l’aquaculture ; 4. l’impact des activités humaines sur la faune aquatique ; 5. les poissons en tant qu’indicateurs de la paléobiodiversité, de la paléoécologie et de la paléoclimatologie ; 6. la taphonomie.
Cette réunion s’est tenue en hommage à Jean Desse et Nathalie Desse-Berset pour leur influence déterminante sur le développement de l’archéo-ichtyologie française et internationale.

This book is the result of the meeting held in Antibes in October 2007, whose title was “Archaeology of Fish”. It explores the worldwide exploitation of aquatic resources by fishing through time and its related themes. Papers are dealing with: 1. fishing techniques and strategies; 2. fish processing and trade; 3. development and management of fisheries and aquaculture; 4. impact of human activities on the aquatic fauna; 5. fish as indicators of paleobiodiversity, paleoecology and paleoclimatology; 6. taphonomy. This meeting has been held in homage to Jean Desse and Nathalie Desse-Berset for their determining influence on the development of the French and international archaeoichthyology.

Sommaire : 2007_XXVIII_2007_Rencontres.pdf

Prix: 38 €
ISBN 2-904110-46-1

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Publication | Actes des XXVIIe rencontres – Les civilisations du renne d’hier et d’aujourd’hui, approches ethnohistoriques, archéologiques et anthropologiques

Sous la direction de Sylvie Beyries et Virginie Vaté.

Que l’on considère les peuples de l’Arctique contemporain ou les chasseurs de la fin du Paléolithique, le renne joue un rôle fondamental dans leur économie et leurs modes de représentations. Les thématiques de ces XXVIIe Rencontres internationales d’archéologie et d’histoire d’Antibes ont été élaborées à partir des résultats d’un programme collectif ACI-TTT, Adaptation biologique et culturelle : le système renne, soutenu par le ministère de la Recherche et de l’Enseignement supérieur et dirigé par Sylvie Beyries. Les articles présentés s’intègrent dans une approche comparative pluridisciplinaire (préhistoire, ethnologie, anthropologie, médecine, biochimie, archéozoologie…) du monde du renne et des cultures qui s’y rattachent. De par leur appartenance à des disciplines variées et leurs expériences de terrain, les participants à ce colloque ont une approche nécessairement originale.
La majorité des chercheurs impliqués dans ce projet travaille depuis plusieurs années avec les peuples du Nord, dans des perspectives très différentes ; tous évoquaient depuis longtemps la nécessité d’une approche intégrée. La réalisation de ce programme collectif a donné un cadre structurel à des échanges jusque-là ponctuels et permis d’établir des relations institutionnelles entre laboratoires rattachés à des départements différents du CNRS et d’autres instituts de recherche à l’étranger (Max Planck Institute, Fonds national suisse, Kunstkamera, Musée russe d’ethnographie, etc.).

Whether one considers the peoples of the Artic regions today or the hunters of the end of the Palaeolithic, the reindeer has played a fundamental role both in their economy and their modes of representation. The topics of the XXVIIe Rencontres internationales d’archéologie et d’histoire d’Antibes were formulated on the basis of the results of a collective programme called ACI-TTT, Biological and Cultural Adaptation: the reindeer system, which has been carried out with the support of the French Ministry of Research under the guidance of Sylvie Beyries. The articles presented herein take a comparatively multidisciplinary approach – including prehistory, ethnology, anthropology, medicine, biochemistry and archaeozoology – to the world of the reindeer and the cultures linked to it. Due to the fact that the participants come from a variety of disciplines and have a range of fieldwork experiences, their approaches in this conference are indubitably original. The majority of researchers involved in this project have worked with the peoples of the North for many years from very different perspectives. Additionally, all have for some time pointed to the need for an integrated approach. The realization of this collective programme provided a structural framework, for exchanges, which had previously taken place only occasionally. It has led to the establishment of institutional relations between units affiliated with various CNRS departments and other foreign research institutes (Max Planck Institute, Fonds national suisse, Kunstkamera, the Russian Ethnographic Museum, etc.).

Sommaire : 2006_XXVII_2006_Rencontres

Prix: 40 €
ISBN 2-904110-44-5

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Publication | Actes des XXVIe rencontres – Normes techniques et pratiques sociales de la simplicité des outillages pré- et protohistoriques

Sous la direction de Laurence Astruc, François Bon, Vanessa Léa, Pierre-Yves Milcent et Sylvie Philibert.

L’outil constitue un excellent marqueur de l’évolution des techniques si l’on prend la peine de reconnaître sa structure, son fonctionnement, sa fonction, et d’évaluer son degré d’élaboration. Il témoigne de traditions, de transferts et d’emprunts techniques, et les recherches en Pré-Protohistoire prêtent de plus en plus d’attention aux valeurs socio-économiques qu’il véhicule. Il ne peut plus aujourd’hui être appréhendé sans une identification aussi détaillée que possible du milieu technique et social dans lequel il apparaît, chaque société générant une gamme d’instruments, constituée elle-même de divers assemblages. La complémentarité technique de ces éléments, à condition d’être capable d’en percevoir les mécanismes, a pour nous une signification première. Cet ouvrage se veut une réponse à l’inconfort intellectuel dans lequel nous plonge le rapport ambigu entre outillages simples et outillages complexes. Ce rapport est encore dans certaines situations un moteur essentiel de notre réflexion sur les sociétés pré- et protohistoriques. Mais il mène aussi à des impasses, en masquant les mécanismes que nous cherchons justement à mettre en évidence. Considérer les outillages peu investis comme peu informatifs constitue l’une de ces impasses. En les excluant de nos analyses, nous ne pouvons rendre compte de la complémentarité qui nous préoccupe tant, ni apprécier réellement les normes techniques devant lesquelles nous nous trouvons. Notre capacité à dégager des comportements récurrents, témoins de structures collectives et du fonctionnement des groupes, d’identifier des témoins d’apprentissage, d’approcher les traditions techniques, se trouve alors hypothéquée. Les membres de communautés scientifiques travaillant sur des espaces chrono-culturels divers, et fondant leur approche des sociétés anciennes sur les outillages lithiques, osseux ou métalliques, se sont donc rencontrés autour de ce thème. Définitions des notions, discussions sur les degrés d’applications de celles-ci, études de cas et synthèses régionales ont montré qu’il était possible, en multipliant les échelles d’analyse, de dépasser un certain nombre d’oppositions usuelles : notamment, simple/complexe, domestique/spécialisé, activité domestique/activité de collecte des ressources alimentaires. Comment, enfin, pondérer dans nos interprétations ce qui relève du domaine technique et du milieu social ? Si l’outil est un vecteur d’intégration et de différenciation sociale, il peut aussi être un vecteur d’évolutions sociales. Discuter de la notion trop linéaire et évolutive de progrès technique nous a conduits à aborder avec prudence les théories générales d’évolution des sociétés développées en anthropologie politique, des sociétés égalitaires aux sociétés hiérarchisées. Ces modes de représentation des sociétés anciennes dites complexes posent de réels problèmes lorsque l’on s’interroge sur les sociétés préurbaines.

Sommaire : 2005_XXVI_2005_Rencontres

Prix: 40 €
ISBN 2-904110-43-7

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Publication | Actes des XXVe rencontres – Temps et espace de l’homme en société : analyses et modèles spatiaux en archéologie

Sous la direction de Jean-François Berger, Frédérique Bertoncello, Frank Braemer, Gourguen Davtian, Michiel Gazenbeek.

Quinze ans après le colloque « Archéologie et espace » qui avait ancré les méthodes et les objectifs de l’archéologie spatiale en France, largement inspirés par la New Geography et la New Archaeology anglo-saxonnes, les rencontres « Temps et espaces de l’homme en société, analyses et modèles spatiaux en archéologie » ont permis de faire un point sur cette discipline. Celle-ci a connu un renouveau avec le développement de l’usage de l’analyse spatiale et des systèmes d’information géographique (SIG), dans les années 1990, en France et dans le monde.
L’ensemble des contributions montre, dans leurs diversités, les méthodes mises en œuvre et les résultats très novateurs obtenus au cours de la dernière décennie. Et ce, notamment, en matière de collecte et de mise en forme des données archéologiques, historiques et environnementales, de modélisation des interactions société/milieu, des circuits d’échanges, des réseaux de peuplements, des territoires.
C’est une véritable communauté de recherche qui est en voie de constitution. En France, elle se met en place dans le réseau ISA (Information spatiale et archéologie), qui a organisé ce colloque.

Sommaire : 2004-XXVeRencontres

Prix: 45 €
ISBN 2-904110-40-2

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Publication | Actes des XXIVe rencontres – Petits animaux et sociétés humaines du complément alimentaire aux ressources utilitaires

Sous la direction de Jean-Philip Brugal et Jean Desse.

On reconnaît plus d’un million d’animaux pluricellulaires à symétrie bilatérale au sein du règne animal. Les vers, les mollusques, les arthropodes, représentent la plus grande part de ce tableau et, pour le grand public, tous ces êtres relèvent de l’échelle des petits animaux. Il existe toutefois de nombreuses exceptions spectaculaires à cette apparente attribution empirique au sein des « petits », tant pour les mollusques (tel le bénitier et surtout le calmar géant) que pour les plus robustes des crustacés. Parmi les poissons, reptiles, oiseaux et mammifères, le gobie et le requin-pèlerin, le lézard et le crocodile, le colibri et l’autruche, la musaraigne pygmée et la baleine rorqual fournissent les bornes de variations de taille au sein des êtres ressortissant à ces classes. Il ne faut cependant pas oublier les « petits des gros », ainsi tous les œufs – qu’il s’agisse du caviar de la plus imposante femelle esturgeon, ou de ceux de l’autruche –, ni même omettre les jeunes des « gros » mammifères, qui sont alors des « petits » en taille et font parfois l’objet d’intenses exploitations (ainsi l’agneau astrakan). Au-delà, donc, de toutes les tentatives de classification des animaux en « grands » ou en « petits », selon la taxonomie, c’est bel et bien l’échelle fournie par la main humaine qui constitue la plus pragmatique des références de taille et qui permet alors de considérer comme « petits » ceux que l’on peut capturer à la main. Parmi les très nombreux vertébrés et invertébrés qui sont susceptibles d’avoir un jour figuré parmi les créatures exploitées par l’homme, ne se trouve pourtant qu’un nombre restreint de taxons. Ainsi, c’est au-delà de l’approche traditionnelle par le canal d’une hiérarchisation des groupes de petits animaux reconnus dans les gisements archéologiques, que les « XXIVe Rencontres internationales d’archéologie et d’histoire d’Antibes » ouvrent largement le champ de la recherche à de plus complexes et plus vastes problématiques. Des stratégies de capture aux problèmes de l’évaluation quantitative et qualitative, de leur rôle dans la diète jusqu’aux modes d’exploitation qui dépassent le seuil des seules implications économiques, de multiples pistes sont ici tracées par les intervenants. Associés sur ce riche terrain de recherche dans le cadre de ces « Rencontres », préhistoriens, archéologues, historiens, tous confrontés aux problèmes d’interprétation de ces faunules, exposent – ou proposent – tour à tour leurs diagnoses, interprétations ou modèles constructifs.

Sommaire :

Prix: 40 €
ISBN 2-904110-38-0

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Publication | Actes des XXIIIe rencontres – Le traitement des récoltes, un regard sur la diversité du Néolithique au présent

Sous la direction de Patricia C. Anderson, Linda S. Cummings, Thomas K. Schippers et Bernard Simonel.

Formé par l’ensemble des opérations qui interviennent entre la moisson et la préparation alimentaire proprement dite, le traitement des récoltes constitue une partie du cycle agraire qui est généralement moins bien documentée que celle concernant les travaux des champs et les élaborations culinaires. Les articles présentés dans cet ouvrage offrent une mise en perspective des travaux de différents spécialistes (archéologues, historiens, ethnologues, agronomes, chimistes, expérimentateurs, tracéologues, archéobotanistes, ingénieurs tribologues, etc.) venant de huit pays. Ils réunissent pour la première fois un éventail d’informations et d’approches nouvelles dans le domaine de l’histoire des techniques agricoles uniquement appliquées à l’ensemble du traitement des récoltes céréalières : le battage, le dépiquage, le vannage, le criblage, le décorticage, le stockage et enfin la conservation. Les recherches présentées s’inscrivent dans le cadre d’une démarche collective internationale en cours du GDR 2517 du CNRS « Regards interdisciplinaires sur les activités et les techniques agricoles anciennes et préindustrielles » et du réseau EARTH (Early Agricultural Remnants and Technical Heritage), soutenu par la Fondation européenne de la science. Ce forum scientifique est destiné à explorer, par les recherches communes et interdisciplinaires, la diversité technique et sociale des procédés mis en œuvre dans le travail agricole depuis ses origines et à préserver de l’oubli les savoir-faire relatifs à ces activités.

Sommaire : 2002-XXIIIeRencontres

Prix: 40 €
ISBN 2-904110-36-4

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