Second Int. Workshop on Semantic Web for Scientific Heritage, SW4SH 2016

SW4SH 2016 will be held in conjunction with the 13th ESWC 2016 Conference which takes place between 29th May and 2nd June in Heraklion, Crete, Greece.
SW4SH 2016 is a continuation of the SW4SH workshop series initiated at ESWC 2015 which aims to provide a leading international and interdisciplinary forum for disseminating the latest research in the field of Semantic Web for the preservation and exploitation of our scientific heritage, the study of the history of ideas and their transmission.

Classicists and historians are interested in developing textual databases, in order to gather and explore large amounts of primary source materials. For a long time, they mainly focused on text digitization and markup. They only recently decided to try to explore the possibility of transferring some analytical processes they previously thought incompatible with automation to knowledge engineering systems, thus taking advantage of the growing set of tools and techniques based on the languages and standards of the semantic Web, such as linked data, ontologies, and automated reasoning. The iconographic data, which are also relevant in history of science and arise similar problematic could be addressed as well and offer suggestive insights for a global methodology for diverse media.

On the other hand, Semantic Web researchers are willing to take up more ambitious challenges than those arising in the native context of the Web in terms of anthropological complexity, addressing meta-semantic problems of flexible, pluralist or evolutionary ontologies, sources heterogeneity, hermeneutic and rhetoric dimensions. Thus the opportunity for a fruitful encounter of knowledge engineers with computer-savvy historians and classicists has come. This encounter may be inscribed within the more general context of digital humanities, a research area at the intersection of computing and the humanities disciplines which is gaining an ever-increasing momentum and where the Linked Open Data is playing an increasingly prominent role.

The purpose of the workshop is to provide a forum for discussion about the methodological approaches to the specificity of annotating “scientific” texts (in the wide sense of the term, including disciplines such as history, architecture, or rhetoric), and to support a collaborative reflection, on possible guidelines or specific models for building historical ontologies. The iconographic data, which are also relevant in history of science and arise similar problematic could be addressed as well and offer suggestive insights for a global methodology for diverse media. A key goal of the workshop, focusing on research issues related to pre-modern scientific texts, is to emphasize, through precise projects and up-to-date investigation in digital humanities, the benefit of a multidisciplinary research to create and operate on relevantly structured data. One of the main interests of the very topic of pre-modern historical data management lies in historical semantics, and the opportunity to jointly consider how to identify and express lexical, theoretical and material evolutions. Dealing with historical texts, a major problem is indeed to handle the discrepancy of the historical terminology compared to the modern one, and, in the case of massive, diachronic data, to take into account the contextual and theoretical meaning of terms and segments of texts and their semantics.

Important dates:

 Due date for paper submission: March 11, 2016 ; EXTENDED DEADLINE : March 18, 2016

 Notification of paper acceptance : April 1, 2016

 Camera-ready version of accepted papers: April 15, 2016

 Workshop: May 30, 2016

Topics covered by the workshop include but are not limited to:

 Ontologies and vocabularies in Ancient Science

 Semantic annotation of ancient and medieval scientific texts

 Information/knowledge extraction from archaeological objects and texts

 Semantic integration of heterogeneous and contradicting knowledge

 Representation of the historical dimension of Scientific Knowledge

 Impact of Semantic Web technologies on Digital Humanities

 Knowledge Engineering for ancient zoological science and literature

 Social Web, collaborative systems, tagging, and user feedback

Paper Submission:
We invite short position papers (4-6 pages) and regular research papers (8-12 pages) describing innovative ideas covering the topics of the workshop.
Submissions must be written in English and follow the LNCS guidelines. For details see the Springer LNCS Author Instructions page.
Papers must be submitted via Easychair: https://easychair.org/conferences/?conf=sw4sh2016 .
Accepted papers will be published in the CEUR workshop proceedings series.

Workshop organizers:

Isabelle Draelants, IRHT
Catherine Faron Zucker, Univ. Nice Sophia Antipolis
Alexandre Monnin, Inria
Arnaud Zucker, Univ. Nice Sophia Antipolis

Contact:

For any question, please contact the organizers via email: sw4sh2016@easychair.org

Les moines et le labeur : Recherches sur le « travail » dans l’Occident médiéval (III)

Michel Lauwers (UMR CEPAM, UNS) : Introduction

Valentina Toneatto (UMR CERHIO, Rennes 2) :
Le « travail » dans l’hagiographie gréco-latine entre Antiquité tardive et haut Moyen Âge15

Emmanuel Bain (UMR TELEMME, AMU) :
« Si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus » (2 Thess. 3, 11) : la réception médiévale des injonctions pauliniennes à travailler

Ludolf Kuchenbuch (Fernuniversität Hagen) :
Un quintette au banc d’essai : la sémantique du « travail » dans le traité De diversis artibus de Théophile. Suivi d’une réflexion sur la microsémantique des documents uniques

Nicolas Schroeder (Université Libre de Bruxelles) : Opus et servitium familiae. Encadrement des hommes et « travail » dans les seigneuries monastiques, IXe-Xe siècles

Didier Panfili (UMR LAMOP, Paris 1) :
Les convers cisterciens. Discours et pratiques sociales (vers 1130-vers 1250)

Avec la participation de Uwe Brunn, Cécile Caby, Didier Méhu-

Les valeurs de l’art

Vendredi 18 mars à la MSHS-Sud Est
Saint-Jean d’Angély 3, Amphi 31 (rdc)

RésumésProgramme

10h15 Rosa Maria Dessì et Nicolas Naudinot (Université Nice Sophia Antipolis, CEPAM-UMR 7264) : Présentation

10h30 Elena Man-Estier (Conservatrice du patrimoine, sous-direction de l’archéologie, Ministère de la Culture et de la Communication et UMR 5199 PACEA) :
La valeur de l’art préhistorique : donner la parole à des expressions muettes

11h30 Étienne Anheim (Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, IECI) :
Entre valeur matérielle et valeur spirituelle : la Madone Rucellai de Duccio (1285)

Discussion et pause

14h Charlotte Guichard (Institut d’histoire moderne et contemporaine, ENS, Paris, UMR 8066) : Auctorialité, autographie et présence : la signature dans la peinture des Lumières

Résumés des communications

Étienne Anheim (Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, IECI) :
Entre valeur matérielle et valeur spirituelle : la Madone Rucellai de Duccio (1285)

La Madone Rucellai de Duccio est un tableau célèbre à plusieurs titres. C’est l’œuvre de la plus grande dimension connue pour le XIIIe siècle, et aussi l’une des plus anciennes pour lesquelles on ait conservé le contrat de commande. Mais c’est également une œuvre clé dans le dispositif narratif de Vasari, qui raconte la procession qui a accompagné son installation dans le Duomo de Sienne, où elle venait prendre place dans une tradition civique et votive d’alliance entre la ville et la figure de la Vierge. Enfin, l’histoire complexe de son attribution, d’abord à Cimabue puis à Duccio à la suite d’une enquête historique de plus d’un siècle, a ajouté à l’importance de l’œuvre dans l’histoire de la peinture italienne au tournant du Moyen Âge et de la Renaissance, et achève de lui donner sa valeur toute singulière à nos yeux. À partir de cette étude de cas qui est aussi une étude d’œuvre, mais dans un sens très particulier, c’est cette valeur, dont les racines sont à la fois matérielles, plongeant dans l’artisanat urbain et le notariat, et spirituelles, liées au culte de la Vierge et à la nouvelle place des images dans la pittura nuova, qu’on tentera de comprendre, en mesurant la distance avec des notions traditionnellement considérées à l’origine de la valorisation de la peinture, comme l’art, le marché ou l’esthétique.

Charlotte Guichard (Institut d’histoire moderne et contemporaine, ENS, Paris, UMR 8066) : Auctorialité, autographie et présence : la signature dans la peinture des Lumières

En dépit de quelques études de cas, singulières voire uniques, la signature dans le tableau reste un détail mal connu dans son histoire, souvent rapportée à l’histoire du statut de l’artiste, du développement du marché de l’art et des marques d’auctorialité. Ma communication s’articulera autour d’une réflexion sur la main de l’artiste et la matérialité de l’objet tableau, afin de mettre en évidence un phénomène nouveau au XVIIIe siècle, à savoir l’effet de présence de l’artiste à travers sa signature. Cet effet de présence repose d’abord sur une fascination nouvelle pour le geste de l’artiste. Contre les anciennes logiques de l’atelier (collectives et collaboratives), la signature autographe instaure un autre régime d’authenticité qui exalte la présence de l’artiste à sa toile et qui met en scène dans le tableau la performance de son geste. En outre, du point de vue plus large de l’histoire culturelle, cette présence autographique de l’artiste à sa toile produit un effet de témoignage. C’est une figure nouvelle qui émerge dans la peinture des Lumières, celle de l’artiste témoin de son temps, engagé personnellement dans son présent et contemporain des événements qu’il dépeint.

Elena Man-Estier (Conservatrice du patrimoine, Sous-direction de l’archéologie, Ministère de la Culture et de la Communication et UMR 5199 PACEA) :
La valeur de l’art préhistorique : donner la parole à des expressions muettes

Ce que l’on appelle communément « l’art préhistorique » est constitué d’un ensemble de productions artistiques aux techniques, supports et thèmes extrêmement variés. Les plus connus sont sans doute les grottes ornées, comme Lascaux ou Chauvet. Mais une multitude d’objets, armes, outils ou vestiges sans rôle utilitaire, ont également été décorés, parfois richement. Réalisées pendant près de 30 millénaires, ces expressions artistiques s’interrompent brutalement au début de l’Holocène, il y a environ 10000 ans, quand les sociétés humaines évoluent sous la pression des climats et des environnements changeants. Passées à travers le temps de manière lacunaire, elles nous poussent aujourd’hui à nous interroger sur leurs valeurs artistiques, esthétiques, symboliques mais aussi marchandes. Découverts il y a à peine 150 ans, les premiers vestiges symboliques de la préhistoire ont été âprement débattus en tant que productions artistiques. Plus tard, il a fallu trouver de nouveaux moyens de les étudier. Les analyses des historiens de l’art ont servi de base aux réflexions mais les préhistoriens s’en sont vite affranchis pour inventer leurs propres règles. Toutefois, la propre valeur symbolique de cet art continue d’être sujette à caution. Si sa beauté et sa rareté nous poussent à lui imaginer un rôle essentiel au sein des sociétés – magique, religieux, mythologique – on peut aussi le considérer comme un simple accompagnement du quotidien, un décor presque anecdotique dans lequel les véritables actions symboliques n’ont, elles, pas laissé de traces. Enfin, parce que ces productions sont rares et fragiles, nous devons aussi nous interroger sur leur valeur marchande. Le caractère exceptionnel des grottes et des objets ornés a parfois fait tourner les têtes… Il a aujourd’hui conduit la communauté scientifique à changer sa façon de les étudier, en privilégiant par exemple les analyses non destructives et les fac-similés. Si le sens ou la fonction de cet art ne pourront sans doute jamais être atteints, on sait désormais comment le faire parler, en le respectant et en respectant avant tout les artistes qui l’ont réalisé, il y a des milliers d’années. Ainsi, nous avons appris à redonner la parole à des expressions muettes mais surtout à les écouter, comme on écouterait l’écho lointain et délicat d’une société disparue.

International Conference on Greek Etymology

Vendredi 18 mars: matin

  • 9h Accueil
  • 9h15-9h30 A. Zucker, V. Castellana, A. Farnoux, E. Grasso, B. Le Magoarou

Ouverture du colloque
Session Théorie et conception antique
Président de séance : Glenn Most

  • 9h30-10h Elsa Bouchard (Univ. Montréal, Canada)
    Étiologie linguistique et discours théologique
    d’Hésiode à Platon
  • 10h-10h30 Pavlos Sfyroeras (Univ. Middlebury, USA)
    The Drama of Etymology: Aristophanes’ Birds
    and Plato’s Cratylus
  • 10h30-11h Pause
  • 11h-11h30 Marco Romani Mistretta (Univ. Harvard, USA)
    Naming the Art, or the Art of Naming: The Etymology
    of Techne in Plato’s Cratylus
  • 11h30-12h Daniel Petit (ENS Paris, France)
    L’étymologie par le contraire chez les Grecs
  • 12h-12h30 Discussion
  • 12h45 Déjeuner

Vendredi 18 mars: après-midi

Session Théorie et pratiques spécifiques
Président de séance : Elsa Grasso

  • 14h30-15h Nathalie Rousseau (Univ. Paris Sorbonne, France)
    Ὅτι ἀλαζών ἐστι μάρτυς ἡ ἐτυμολογία : Théories et pratiques étymologiques chez Galien de Pergame
  • 15h-15h30 Andrea Filoni (Univ. Milan, Italie)
    L’uso dell’etimologia nel Περὶ θεῶν di Apollodoro di Atene
    (e nel suo mediatore Porfirio): uso scientifico o ideologico?
  • 15h30-16h Maria Chriti (Κέντρο Ελληνικής Γλώσσας-Θεσσαλονίκη, Grèce)
    L’Étymologie comme instrument de création de noms
    chez Ammonius, le commentateur néoplatonicien d’Aristote
  • 16h-16h15 Pause
  • 16h15-16h45 Claire LeFeuvre (Univ. Paris Sorbonne, France)
    Les éléments implicites dans les raisonnements étymologiques des scholiastes
  • 16h45-17h15 David Driscoll (Univ. Stanford, USA)
    Spurning Glosses: Etymological Interpretation of Poetry
    as a Social Phenomenon at Plutarch’s Symposia
  • 17h15-17h45 Georgia Kolovou (Univ. Nanterre Paris X, France)
    The reception of the etymology in the Commentary of Eustathios on Homer’s Iliad
  • 18h-19h30 Cinéma : Agnès Sklavos et Stelios Tatakis
    Les événements de Phocée 1914,
    Tatakis AV Productions (Grèce), 2014 (50 mn)
  • 20h30 Dîner

Samedi 19 mars: matin

Session Ressource poétique et jeux de mots
Président de séance : Arnaud Zucker

  • 9h00-9h30 Pierre Destrée (Univ. Louvain, Belgique)
    Platon et l’usage humoristique des noms propres
  • 9h30-10h Christophe Cusset (ENS Lyon, France)
    L’étymologie comme ressource poétique
    chez les poètes alexandrins
  • 10h-10h30 Benoît Louyest (Univ. Montpellier III, France)
    Assaisonnements étymologiques. Les jeux sur
    le langage dans le Banquet des sophistes d’Athénée
  • 10h30-11h Pause
  • 11h-11h30 Valentin Decloquement (Univ. Lille III, France)
    Etymologie fallacieuse et jeux de mots.
    Les questions homériques factices de Ptolémée Chennos
  • 11h30-12h Simone Beta (Univ. Siena, Italie)
    Jouer (et s’amuser) avec la littérature.
    Les jeux de mots dans la poésie grecque
  • 12h-12h30 cussion
  • 12h45 Déjeuner
  • 14h30-16h Visite Guidée ou libre de la villa Kérylos

International Conference on Etymological Theories and Practice in Greek

Dates and Submission

We invite papers (10-20 pages) describing researches and innovative ideas covering the topics of the conference. The main focus of the conference is ancient and byzantine Greek texts but studies on modern Greek approaches of ancient language are also possible. Submissions of an abstract (500 words) is expected before september 15 (no extension). Abstracts can be written and talks can be given in French, English, Greek, German, Spanish or Italian. Accepted papers will be published.

Organisation

Arnaud Zucker (CEPAM-UMR7264, Univ. Nice Sophia Antipolis, France)
Elsa Grasso (CRHI-EA 4318, Univ. Nice Sophia Antipolis, France)
Alexandre Farnoux (EFA)
Vassiliki Mavroidakou-Castellana (Villa Kérylos)

Programme committee:

Jorge Bergua (Univ. Málaga-Spain)
Simone Betta (Univ. Pisa-Italy)
Michèle Biraud (Univ. Nice-France)
David Bouvier (Univ. Lausanne-Switzerland)
Luc Brisson (CNRS, Paris-France)
Maria Chriti (Centre for the Greek Language, Thessaloniki-Greece)
Alexandre Farnoux (Ecole Française d’Athènes-Grèce)
Elsa Grasso (Univ. Nice, France)
Charles de Lamberterie (EPHE, Académie des Inscriptions et Belles Lettres-France)
Glenn Most (Univ. Chicago-USA, Univ. Pisa-Italy)
Koen Vanhaegendoren (Univ. Liège-Belgium)
Arnaud Zucker (Univ. Nice, France)

Call for paper :

This international conference to be held in the Villa Kerylos in March 2016 (03/18-19) aims to attract researchers, mainly philologists and linguists interested in the etymology of Greek language (ancient, Byzantine and modern as well). The ancient Greek conception of etymology is fundamentally different from our modern one and has a much broader meaning. To start with, it allows a rather exceptional plasticity (see, e.g., Plato’s Cratylus) as far as semantic paronomasia is concerned. As ancient scholars understood it, etymology is chiefly a dynamic process aiming at suggesting semantic correlations between words based on phonetic similarities, with a momentous heuristic power. This intellectual game, a very serious one at that, deserves to be investigated since neither is it scientific in character (as modern linguists would describe it) nor can it be labelled as “folk” etymology. It is rather a cultural construction, which is both an art of punning and an attempt to uncover deep semantic motivations. From Homeric epos onwards (see Porph. ad Il. 9.1.160 : Ὁμηρικοῦ ὄντος τοῦ παρετυμολογεῖν), where it appears to be a major concern, a tendency to cluster together words from the same suppoed root or origin seems to become more and more widespread. Some of this spirit is still present in modern practice, although it receives an unmerited discredit. The phonetic proximity of words in a language have an unquestionable effect in the unconscious representation of the world and interconnecting paronymic words has ever had intense attractiveness and heuristic and intellectual interest, either in linguistic theories or in puns or wordplay practices.

One of the issues of this conference is to attract Greek scholars and strengthen scientific relations between Greece and Nice. Another aspect we intend to support in this event is the large diachronic investigation on Greek language from antiquity to modern time.

Différents éclairages de l’analyse fonctionnelle

10h Hermine Xhauflair (MNHN)
La tracéologie combinée à l’ethnoarchéologie comme moyen de retrouver des témoignages de pratiques humaines passées dans les forêts tropicales du sud-est asiatique.

11h Juan José Ibaňez Estevez (CSIC)
Quantification du micropoli d’usure par microscopie confocale: l’exemple des traces de moisson et l’origine de l’agriculture.

12h Sylvie Beyries (CEPAM-P2EST), Jesus González Urquijo (Universitad de Cantabria), Juan José Ibaňez Estevez (CSIC), Talia Lazuén (CNRS-TRACE)
Présentation du programme de quantification du micropoli d’usure par microscopie confocale sur le cuir.

12h30 Buffet

14h Jimmy Linton (Université de Liège)
Apport de l’analyse tracéologique des séries lacustres suisses à la reconstitution des systèmes de maintien et du fonctionnement des outils en silex néolithiques.

15h Lorène Chesnaux (Paléotime)
Au-delà des inventaires typologiques. Approches croisées, expérimentales et fonctionnelles pour la reconstitution du fonctionnement des microlithes du Premier Mésolithique en France.